interview avec le Skieur de l’impossible, Sylvain Saudan ?

interview avec le Skieur de l’impossible, Sylvain Saudan ?

Sylvain Saudan : 3 fois dans le Guinness Book, incroyable mais vrai ..

Il a battu des records pour avoir été le 1er homme à descendre à ski des sommets de 6000, 7000 et 8000 mètres. J’ai eu l’improbable privilège d’interviewer Sylvain Saudan, dit le Skieur de l’impossible dans un hall de gare.

Il est ce qu’on appelle un miraculé et le récit de sa vie est exceptionnel.

Aujourd’hui, Sylvain Saudan intervient entre autre chez Rolex pour motiver les troupes et organise des semaines de ski pour milliardaires dans la région du Cachemire en Inde.

A l’écouter, le temps s’arrête. Il est le genre de rencontre que j’aime partager. Bonne découverte

 

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Si tu préfères la lecture, voici la retranscription de la vidéo:

Je suis Sylvain Saudan, appelé “Le Skieur de l’Impossible”, tout simplement parce que j’ai descendu en ski des montagnes réservées aux alpinistes équipés de piolets, crampons et cordes.

Cette première aventure a eu lieu en 1967 dans les Aiguilles de Chamonix, le couloir Spencer. Et par la suite, il y a eu ce que j’appellerais “La Progression”, c’est-à-dire à 5000, à 6000, à 7000, à 8000.

Dans ces descentes qui, si j’ose dire, m’ont laissé un grand souvenir, il y a par exemple le Mont McKinley en Alaska, où j’ai souvent l’occasion de présenter le film qui a été tourné lors de cette descente; il y a le Nun Kun qui atteint 7000m au Cachemire en Inde; et il y a le Hidden Peak qui atteint 8000m dans les massifs de l’Himalaya.

Toutes ces descentes sont effectuées dans des itinéraires d’alpinistes équipés de piolets, crampons et cordes. Ce sont toutes des premières et elles n’ont jamais été refaites.

  • Quels sont vos différents records ?

Je suis trois fois au Guinness Book des records. La première fois c’est pour la descente à ski de l’Innominata dans le massif du Mont Blanc, le Mont Mckinley et le premier 8000m dans le massif de l’Himalaya.

Mais je suis également ailleurs, auquel je donne beaucoup plus d’importance : il y a un livre qui remontait 200 ans en arrière et qui a choisi 50 personnages dans le monde pour illustrer ceux qui vont laisser des traces.

Ils sont parmi les cosmonautes, il y a des physiciens et je fais partie de cette équipe là.

  • Quelle est la descente qui vous a le plus marqué ?

Disons qu’elles m’ont toutes laissé un souvenir différent. D’autres m’ont aussi laissé des mauvais souvenirs, par exemple lorsque j’ai tenté le premier 8000 au Dhaulagiri où malheureusement nous avons perdu deux guides et un médecin au cours de l’expédition.

Nous sommes restés à 7600m, trois personnes gelées et nous avons dû sortir de la montagne par nos propres moyens.

Ce ne sont pas toujours des bons souvenirs mais en ce qui concerne les autres descentes, je crois quand même que je peux dire que c’est le 8000m parce que c’est l’aboutissement de tout alpiniste déjà, pas seulement du skieur.

Ce que je fais, je dois dire que “c’est un peu la réunion de l’alpinisme et du ski, je crois qu’avant tout il faut être alpiniste car il faut d’abord monter. “

Et le 8000m, vous montez avec des amis par la voie la plus facile mais que vous allez descendre à ski une pente qui n’a jamais été gravie, que vous quittez vos amis à plus de 8000m, que vous n’avez ni sac, ni à manger, ni à boire, ni casque.

Vous êtes seul sur des skis avec une paire de bâtons, vous savez que d’une manière ou d’une autre, vous allez arriver dans la partie inférieure mais si possible, en pouvant la raconter.

Heureusement, Dieu merci, j’ai pu le faire.

  • Combien de temps peut durer une descente ?

Il y a 8 heures de descente, il ne faut pas oublier. Et la chute n’est pas permise. Vous le faites dans de très mauvaises conditions parce que, lorsque vous arrivez à 8000 sans oxygène, vous n’êtes pas très en forme.

Et puis il se passe un autre phénomène, c’est une aventure complète, je ne pouvais demander de renseignements à personne car il n’y a aucun alpiniste qui, quelques minutes après, redevient un skieur.

Et à ces altitudes, tout est ralenti. Penser c’est ralentir. Effectuer le mouvement que vous avez pensé c’est encore au ralenti. Mais lorsque vous êtes sur les skis, eux glissent à la même vitesse là-haut que lorsqu’ils glissent à Chamonix, il ne faut pas oublier.

Là il risque d’y avoir un décalage et ce décalage entraîne automatiquement un manque de contrôle et ensuite, la chute fatale. Donc vous ne pouvez pas oublier car c’est toujours présent dans la descente : la chute n’est pas permise.

C’est quelque chose que vous n’ignorez pas. Et, il faut le savoir mais ne pas être paralysé, ne pas être pris par cette peur qui, automatiquement, engendrerait une faute technique.

  • Quelles descente vous a donné le plus de plaisir ?

Le plaisir était toujours le même que ce soit la première descente du Couloir Spencer parce que ça m’a donné une confiance pour aller plus loin, donc un énorme plaisir d’avoir réussi et de savoir qu’il y avait un avenir devant moi.

Et après quand vous augmentez la difficulté, que vous avez réussi, vous remettez à nouveau les compteurs à zéro et vous êtes toujours satisfaits, en gros.

Mais il est clair que le 8000 c’est la plus grande satisfaction pour la simple et bonne raison qu’en 1970, lorsque je descendais l’Eiger en Suisse, j’avais déjà fait beaucoup de chose et la presse à ce moment-là m’a dit : “Écoutez, après tout ce que vous avez fait, vous allez arrêter.”.

Alors j’ai dit : “Non, mon objectif est de descendre à ski le premier 8000m.” et je n’ai réussi qu’en 1982.

Vous pouvez vous imaginer la motivation qu’il faut avoir, et j’ai respecté les 6000 et les 7000 avant d’arriver à 8000. J’ai respecté à ski ce que les alpinistes ont respecté. Et la descente à 8000 était pour moi le pendant de la première ascension.

  • Comment êtes-vous arrivé à ce niveau ?

Dans un film, justement, je montre l’entraînement. Et comment je suis arrivé à cela, c’est très simple, à partir du moment où j’effectuais des virages quasiment sur n’importe quelle pente, dans toutes les qualités de neige et que je me suis demandé ce que je pouvais faire comme technique un peu plus poussée.

Il était très simple de le faire sur l’herbe d’abord pour ensuite aller sur les pierres. Celui qui peut faire des virages sur les pierres, il n’a plus de problèmes de qualité de neige. Dans toutes ces descentes, les qualités de neige ne sont jamais bonnes, alors si la qualité de neige était un soucis, est-ce que j’aurais pu le faire ?

Dû aux difficultés de la neige, c’est tout de même excessivement dangereux. Donc là, je pouvais dire, en skiant sur les pierres, aucun problème de qualité de neige donc j’oubliais ce qui ne faisait pas partie de mon calcul, des risques ou du danger.

Et puis un jour, je l’ai écrit dans le premier livre Skieur de l’Impossible, et les gens ne me croyaient pas alors j’en avais marre et je me suis dit que nous allions carrément le mettre dans un film. Ce que nous avons fait. Je rajouterais que j’ai eu l’occasion de descendre le Fuji-Yama au Japon sans un seul cm² de neige, en plein mois de Septembre, du sommet au pied de ce cratère.

  • Comment faisiez-vous pour ne pas casser vos skis ?

Pour moi le ski c’est comme un cheval, c’est quelque chose qui doit être docile. En même temps c’est presque un outil aussi mais je dirais que c’est péjoratif de dire qu’un ski est un outil. Il doit répondre et avoir toujours les mêmes réactions lorsque vous lui demandez quelque chose.

Tout ceci pour vous dire que les skis doivent être bien choisis et que c’est une des raisons pour lesquelles je n’ai jamais cassé une seule paire de skis. Et les skis avec lesquels j’ai fait le Fuji-Yama existent toujours. Malheureusement il n’y a plus de semelle, il n’y a plus rien mais mêmes les carres ne sont pas arrachés.

  • Que voulez-vous laisser après votre passage ?

Je n’ai pas de motivation de laisser quelque chose mais j’apprécierais beaucoup, et j’apprécie ceux qui savent regarder les films, qui savent apprécier certaines choses et cela est largement suffisant.

Maintenant, je prendrais l’exemple de mon père qui m’a toujours dit : “Sylvain, ne donne jamais de conseils à personne, n’écoute pas les conseils de quelqu’un parce que tu sais assez bien te tromper toi-même.”

  • Comment développer sa motivation ?

Le motivation ce n’est pas quelque chose pour laquelle on doit se dire “je dois me motiver”, c’est quelque chose qu’on a en soi. Je pense qu’on l’a tous, mais la grande difficulté c’est de savoir qu’on l’a et la développer.

On la développe comment ?

On la développe avec des projets, qui peuvent être des projets dans le business, dans le sport ou pour de multiples raisons. Et à partir de là, on prend conscience de soi et de ce que l’on est capable de faire.

Cette motivation, au fur et à mesure de la recherche de la difficulté et en ne baissant jamais les bras, c’est quelque chose qui s’aiguise et finalement, c’est quelque chose avec laquelle on s’habitue à vivre et à un moment donné, cela devient presque une obligation. Mais tout ça se fait naturellement.

C’est comme le goût du risque : on l’a tous un peu à des degrés différents, mais il faut commencer par le début. Et le début c’est de se dire, si je fais du tennis, il n’y a pas grand risque si vous voulez mais il peut justement y avoir une motivation à un certain moment de pousser la condition physique un peu plus loin, essayer de se découvrir.

C’est dans l’effort et dans la difficulté qu’on se découvre soi-même et nous avons tous des réserves. Mais c’est vrai que nous vivons à une époque plus facile où on ne va pas puiser dans ses réserves, on baisse très facilement les bras.

Heureusement, on a des jeunes qui ont encore le sens de vouloir se dépasser et avancer dans la vie. Mais il faut se connaître soi-même et apprendre à se connaître.

  • Pensez-vous avoir été “béni des dieux” ?

Je ne pense pas pouvoir dire cela mais je dirais tout simplement que dans la vie, il ne faut pas compter sur la chance mais surtout, il ne faut pas avoir de malchance. C’est un peu ce qui s’est passé avec moi.

Je suis quelqu’un qui donne énormément de valeur à la vie, celle que j’ai mené et que j’ai beaucoup risqué, c’est vrai qu’avec du recul je pense un peu à tout cela et s’il y a quelqu’un au-dessus de nous je le remercie car c’est vrai que beaucoup de gens n’ont pas cette chance là.

Je sais combien j’ai lutté pour cette vie, pour la garder mais aussi pour ne pas la détruire, tout cela est très important. Et cela me fait sortir de mes gonds quand je vois tous ces gens prisonniers d’une cigarette, je ne sais pas où est le plaisir à détruire sa propre vie.

  • Comment apprécier les choses simples après avoir eu autant d’adrénaline ?

C’est vrai qu’avec la vie que j’ai vécu et tout ce que j’ai risqué, j’aurais dû mourir plusieurs fois, c’est un fait.

      Et comment cela se fait qu’aujourd’hui je ne suis pas dégoûté de la vie ?

Je ne suis pas blasé, et pas blasé du ski non plus. Tout simplement, au départ c’est que j’aime la vie, c’est la première des choses. Et encore aujourd’hui, j’ai des plaisirs avec des choses tout à fait simples. Moi, mon plus grand plaisir c’est de transmettre. Et là ce n’est pas dans les exploits, ce sont dans les leçons de skis.

Un jour j’ai enseigné le ski à une personne de 72 ans, qui n’avait jamais vu de paire de ski, avait fait deux ans de camp de concentration et qui avait pour objectif d’apprendre à skier. Il avait auparavant 5 ou 6 moniteurs qui lui ont tous dit : “Le ski c’est pas pour toi” et j’en ai fait un très bon skieur en neige vierge.

Et quand je pense au ski ou que je parle du ski, j’ai souvent cette photo qui me revient de ce monsieur avec un grand sourire en neige vierge et qui se moquait des moniteurs qui étaient à côté de la piste à 20 mètres de lui et qui avaient dit que le ski c’était pas pour lui. Si vous voulez, apporter quelque chose à quelqu’un, je le fais toujours aujourd’hui en donnant des leçons de ski.

Même de skier pour moi, c’est toujours un plaisir, pourquoi ? Parce que moi je skie avec le terrain, c’est lui qui m’inspire. Et il m’inspire aujourd’hui comme il m’inspirait à l’âge de 20 ans.

  • Quand avez-vous compris que vous réaliseriez de grandes choses ?

Ce que j’ai fait, je crois, était écrit lorsque j’avais déjà 6 ou 7 ans parce que les premières cinq minutes où j’ai glissé sur une paire de skis, lorsque j’avais 5 ans et des poussières, c’est à ce moment-là que je me suis aperçu que j’existais.

Je me suis découvert. Cette glisse, je l’ai sentie. Ce mot qu’on emploie aujourd’hui tous les jours, “la joie de la glisse”, le plaisir de la glisse, je l’ai sentie. Je ne savais pas ce que j’allais en faire mais je savais que j’allais l’utiliser. Et c’est ce que j’ai fait. J’ai toujours commencé à skier partout où les autres ne pouvaient pas skier, et tout seul.

J’étais de famille pauvre, nous avions des vaches et du bétail mais nous sommes des familles qui n’avons jamais eu faim pendant la guerre. Nous avions toujours à boire et à manger mais on travaillait. À l’âge de 7 ans, le matin je me levais pour apporter le lait à la laiterie qui se trouvait à 3km de la ferme où nous étions, à 800m d’altitude. Beau temps, mauvais, neige ou pas neige, j’y allais avec les skis et il ne fallait pas renverser le lait. C’était la même chose le soir, nous allions à l’école avec mon frère et en rentrant, il fallait s’occuper du bétail. Et ceci toute ma jeunesse. Et à l’âge de 12 ans, je gardais une vingtaine de génissons (qui ne sont pas encore des vaches) à 2000m d’altitude, tout seul avec un chien.

J’avais cinq tôles, deux de côté, une derrière, une devant et une qui servait de toit, et mon chien. Et ceci pendant deux mois. Mon père venait me voir une fois par semaine pour me rapporter la nourriture.

Et bien le jour où mon père m’a dit que c’était terminé, je crois que c’est la seule fois que j’ai vraiment pleuré. Je savais que je quittais quelque chose de fantastique pour rentrer dans une autre vie, qui pour moi n’avait pas tellement d’avenir. Mais, tout de suite, le sport a pris le dessus. Tant et si bien que si aujourd’hui je devais recommencer, y compris garder ces génissons, je referais exactement la même chose.

C’est peut-être aussi une des raisons pour laquelle j’ai la chance de me lever le matin en me disant que la vie est encore fantastique. Tous les jours, il y a encore quelque chose de nouveau qui m’arrive. Étant donné que je voyage beaucoup, cela fait des années que je cours à travers le monde, que je rencontre des gens toujours très intéressants, j’en donne la preuve à l’instant même.

Et bien tout cela fait partie de la vie, c’est un réconfort, c’est une nourriture presque, et il y a des échanges.

 

Si vous vouliez encore plus d’information :

Sylvain SAUDAN est un pionnier du ski extrême dont les exploits lui ont valu le titre de “Skieur de l’Impossible”, grâce notamment aux descentes de l’Innominata (4810m), du Mont McKinley (6178m) et du Hidden Peak (8068m).

Il a frôlé la mort des dizaines de fois et a perdu de nombreux membres de son équipe. Aujourd’hui il continue de vivre de cette passion et organise 8 semaines de descente à ski héliporté par an sur l’Himalaya Indien, dans la région du Cachemire.

À 81 ans, Sylvain SAUDAN continue de skier un peu partout sur la planète. Il est aussi intervenant en entreprise afin de partager sa détermination, sa pugnacité et son expérience. Merci au Skieur de l’Impossible pour cette rencontre exceptionnelle !

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?Enfin, la 3ème est de vous faire prendre conscience de votre valeur et qu’il est primordial de la partager avec le plus grand nombre.

 

J’ai joué au tennis avec Sam qui pesait 228kg il y 3 ans ??

J’ai joué au tennis avec Sam qui pesait 228kg il y 3 ans ??

Une Expérience inspirante.

Samuel faisait 228 kg il y a 3 ans.
Ce matin, on a fait un tennis ensemble et il m’a fait transpirer pendant 1h30.
Entre temps il a perdu 130 kg.
Il y a 3 ans, il ne pouvait pas traverser l’équivalent de la longueur du court en marchant, aurait brisé la chaise en 2 s’il s’asseyait dessus et ne pouvait pas passer une ceinture de sécurité autour de lui.

Ce matin il courait comme un lapin et s’il ne s’était pas confié à moi, je n’aurais jamais pu deviner son histoire.

J’ai reçu une leçon de volonté, de détermination et d’humilité par dessus le marché.
Au total, Samuel a investi 50 000 dollars pour aller au bout de son projet et fait preuve d’une volonté de fer pour vivre la vie dont il rêvait.

 

? Vidéo du jour :

J’ai joué au tennis avec Sam qui pesait 228kg il y 3 ans

 

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Si tu préfères la lecture, voici la retranscription de la vidéo:

I- Expérience Airbnb

J’ai fait une expérience Airbnb, je ne sais pas si vous connaissez ?

Aujourd’hui Airbnb a deux types d’activités :

Les logements en ligne, la location courte durée d’appartement classique pour touriste,

Ce que je fais,

Et également les expériences, les activités pour les touristes.

Grâce à cela, tout le monde peut découvrir une activité avec un local, comme par exemple ;

-Dégustation de vin

-Découverte du marché

– Cuisine chez l’habitant,

-Faire des bouquets de fleurs avec un fleuriste local

Et autres cours de tennis avec joueur, lui même local.

C’est ce que j’ai fait, j’ai joué au tennis avec un canadien ce matin

Et ce canadien, Samuel,

a une histoire absolument extraordinaire.

II- Découverte de Samuel

Samuel gagne le match, il me met 3-0 !

Il a perdu 130 kg pour jouer au tennis avec moi

Pas pour moi particulièrement, mais pour jouer au tennis et pour vivre comme tout le monde,

accessoirement.

Il faisait 228 kg et aujourd’hui il en fait 98.

Il a subit 3 opérations, 4 même !

Une opération pour réduire la taille de son estomac qui lui a permis de maigrir en masse,

Puis 2 opérations esthétiques.

Une pour tailler la peau de son ventre et une pour la peau de ses cuisses.

C’est un homme qui a une détermination incroyable!

Il était bien entendu ultra obèse.

III – Le parcours de Samuel

Il me disait qu’à l’époque il ne pouvait pas traverser ne serait-ce que la surface du terrain de tennis

En marchant il était obligé d’être motorisé, véhiculé pour le moindre de ses déplacements

Il me montrait la chaise sur laquelle on était assis et il me disait qu’à l’époque, si il s’asseyait dessus, il l’aurait fracassé en 2

Il me disait aussi que pour se véhiculer il avait besoin d’une voiture spéciale pour s’asseoir sur le siège et pour passer la ceinture de sécurité autour de lui

Bref sa vie était un calvaire, il travaillait 80H/semaine.

Il bossait comme un chien et n’avait le temps de rien

Il s’alimentait très mal, n’avait jamais fait de sport de sa vie.

Et un beau jour, il s’est réveillé en se disant qu’il voulait reprendre sa vie en main et maigrir.

Il a commencé petit à petit…

IV- Les choix de Samuel

Deux options s’offraient à lui ;

Soit il était déclaré comme personne handicapé et il pouvait se faire subventionner et avoir une bourse par l’état canadien,

Mais c’est très long il y a déjà 1 an d’attente pour aller chez le chirurgien puis ensuite 3 ans d’attente pour se faire opérer.

Lui, il a préféré mettre la main à la poche.

Il a dépensé 20 000 dollars uniquement pour l’opération afin de se faire rétrécir l’estomac,

ensuite il a rajouté 14 000 dollars pour se faire couper la peau du ventre.

Il m’a montré des photos, il avait la peau du ventre qui pendait jusqu’au genoux, c’était surréaliste.

9000 dollars ont été mis pour la peau entre ces cuisses et il est sur le point de mettre 6000 dollars pour la peau des bras.

Il ne l’avait pas encore faite donc il a joué avec un t-shirt de compression sous un deuxième t-shirt classique.

On voyait quand même un peu la peau du cou et puis les bras mais ça restait assez discret et improbable

Jamais je n’aurais pu croire que cet homme faisait 228 kg à son pic avant qu’il ne me le dise

C’est juste improbable, incroyable. Il a fait preuve d’une volonté phénoménale.

V – Samuel aujourd’hui

Il s’est mit au tennis, il joue tous les matins à 7h, il a une très bonne technique,

Samuel se déplace relativement bien, il a un bon équilibre, un bon œil et c’est fabuleux!

Il me disait qu’il avait eu de la chance d’avoir eu de l’argent pour se le payer, ça coute quand même 50 000 dollars cette histoire

Je lui réponds que cette chance il se l’est offerte dans la mesure où il avait travaillé comme un chien la plupart de sa vie dans une grosse imprimerie à Montréal.

Il me disait que les gens qui avaient moins de moyens n’avait pas forcément la possibilité de bénéficier de ces interventions aussi rapidement,

que lui n’avait pas voulu attendre et dépendre de l’état.

Il avait un objectif et il y est allé bille en tête.

Je lui ai proposé de faire une interview, c’est quelqu’un d’assez introverti, je l’ai senti directement, il avait le regard assez fuyant, il me l’a pas raconté tout de suite.

On a joué pendant une petite demi heure et au moment de faire une pause pour boire il s’est confié à moi,

il s’est ouvert spontanément mais aujourd’hui ce n’est pas quelque chose sur lequel il a envie de trop communiqué

Il en parle volontiers à ses amis et aux gens qui viennent le solliciter pour de l’aide mais il veut le garder à moindre échelle,

ce qui est dommage parce que je pense qu’il y a beaucoup de notions qui sont hyper intéressantes notamment le regard des autres,

la phase de séduction qui s’ouvre à lui parce que c’est vraiment un bel homme.

Il a une belle barbe, une bonne gueule, un super sourire.

Il faisait son premier voyage en avion à 37 ans !

à l’époque il ne pouvait pas prendre l’avion parce qu’il ne pouvait pas tenir sur un siège d’avion.

C’est comme si la vie s’ouvrait à lui.

Il me disait qu’il adorait voyager, avec une lueur d’un jeune ado qui découvre son premier voyage en Espagne aux portes de la France.

C’était vraiment surréaliste et très chouette, il a réservé mon expérience r’b’n’b dans l’avion en provenance de Naples. C’était un bonheur de le rencontrer

On a eu de la chance, on a faillit ne pas jouer parce que j’avais oublié la raquette de tennis que je devais lui prêter

Heureusement que j’ai un pote qui habite à coté, j’ai pu emprunté la sienne.

VI- Morale de son histoire

Superbe exemple de motivation, volonté, ténacité.

Je pense que ça peut en aider plus d’un à aller au bout de ses envies

De montrer qu’il faut investir pour aller au bout de ses envies, que ce soit de son énergie, de ses fonds personnels, il faut puiser, faut y aller, faut pas avoir peur.

Il faut aller au combat! Lui ça fait 3 ans qu’il le fait et 3 ans qu’il revit

On ne peut que le féliciter donc j’avais envie de partager cette histoire avec vous et j’espère qu’elle vous aura inspirer.

Autre détail important concernant Samuel c’est qu’il m’expliquait qu’on a beau avoir subit une opération de l’estomac, si on en prend pas soin,

si on ne reste pas sur sa lancée, l’estomac peut redevenir comme avant, se reformer.

Il m’a cité quelques exemples de personnes qui avait subit cette opération, qui avaient perdu 100kgs, mais qui non seulement les avaient repris mais en plus étaient redevenu encore plus gros qu’avant.

Ça me fait penser au vainqueur de l’euro million qui avait un rythme de vie assez classique voir faible

Et qui d’un coup gagne 15 millions d’euros, qui perd tout et 3 ans plus tard redevient encore plus pauvre.

Ici le mindset, l’état d’esprit est tellement important, tellement fort, et c’est pour ça que je voulais proposer un podcast à Samuel

Et de témoigner, il n’était pas motivé pour le faire mais ça montre encore à quel point on a beau investir tout ce qu’on veut financièrement,

Si la volonté, la motivation et la détermination n’y sont pas, le travail sera vain.

Alors à nous d’en tirer les conséquences !

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?Enfin, la 3ème est de vous faire prendre conscience de votre valeur et qu’il est primordial de la partager avec le plus grand nombre.

Réussir un Discours de Mariage ✅

Réussir un Discours de Mariage ✅

? Vidéo du jour : Réussir un Discours de Mariage 

A la seule idée de m’imaginer faire un discours de mariage, mon cœur s’emballe. Devoir prendre la parole devant ces 150 paires d’yeux avec la responsabilité de faire rire, puis d’attendrir, en faisant des pauses, en variant les rythmes, en parlant bien entendu assez fort et si possible en marquant les esprits et le cœur des mariés : ça me fait transpirer.

Toi aussi ?

Alors parfait, ce récit ne peut que t’aider.

La vidéo: 

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Et si tu préfères la lecture, voici la retranscription de la vidéo:

Ça y est ! c’est la rentrée, on repart pour une année!
Une année de projets, de vidéos…
Et on commence cette rentrée de septembre 2018 par un devoir faire, un discours de mariage.

(suite…)

Flirter dans un avion ? ✈️

Flirter dans un avion ? ✈️

Paris – Lisbonne, 6h du mat’ Mi-novembre

Sur ce coup là, je l’avoue bien volontiers, j’ai eu le cul bordé d’nouilles 😉
Je pars au Cap Vert avec des potes et sur le 1er vol direction Lisbonne, un ami de la bande qui est en couple part pour s’asseoir à côté d’une demoiselle, châtain clair et souriante. Même à 6h du mat’ au départ de Paris, qu’on se le dise, c’est rare !

J’envoie à Bastien un clin d’œil des familles bien grillé histoire qu’il percute rapidement que son siège serait à mon inconnue et moi-même bien plus profitable.

Pure règle de politesse sans sous-entendu (et presque sans arrières pensées ☺

⁃ Moi : Bonjour !
⁃ Elle : Bonjour.
Sobre.

Puis, les consignes d’usages concernant la sécurité et autre charabia en portugais passées, je m’adresse à ma voisine lui demandant si elle est de cette nationalité.

En répondant par la négative je rebondis en disant qu’elle part avec un sérieux handicap. Elle rigole et me répond un “nan mais j’rêve” – avec le sourire.

On peut y aller, la glace est brisée.

Étape 2 : quelques questions d’usage.

Qu’est ce qui t’amène à Lisbonne ?
Elle m’explique rendre visite à “un ami” au Sud de Faro, en Algarve. Cet ami possède une ferme et ils se sont justement rencontrés lors d’une expérience de woofing à l’étranger.

Elle travaille au siège d’une ONG après avoir fait un Master de droit dans mon quartier parisien qu’elle déteste ! Voilà une première contradiction qui vient nous pimenter le débat !

Elle se demande si elle quitte Paris dès janvier (nous sommes le 11 novembre 2017) en restant dans l’humanitaire mais sur le terrain cette fois.
(Si on se revoit, faut pas traîner mon gars)

Elle me pose des questions à son tour et me montre une lichette d’intérêt. Mais t’emballe pas, la route est longue et tu ne connais (quasi) rien d’elle.

On s’endort, c’est légitime, il est 6h45, elle comme moi avons du nous lever sur les coups de 4h. Réveillés par le petit dej servi, qu’elle refuse, notre partie de ping-pong peut reprendre.

Le panorama à travers le hublot à côté de son siège est sublime, on a le droit à un lever de soleil. Je suis amoureux des couchers donc quand j’ai le droit à son opposé je m’empresse de le shooter. Elle me charrie en disant : “ah tu fais partie de ces personnes qui prennent des photos du hublot”
Je lui réponds un sobre : j’adore !

Silence.

D’environ 3 minutes, je savoure mon pain camembert infâme en alternance de gorgées d’un café sans saveur. J’me régale.

J’enchaîne en disant qu’elle fait partie de ces gens qui portent des chaussures blanches et qui ne les lavent jamais, un sourire en coin.
Elle acquiesce et me renvoie le compliment en regardant les miennes. Je prétends être à cheval sur la propreté alors que mes godasses sont défoncées et que je les laisserai sûrement sur l’île au moment du départ.

Étape 3 : On passe un cap.

Comment tu t’appelles ?
Clémence.
Enchanté Clémence.

Regard vers elle et silence.

Enchantée……………….Max………imilien ?
(Elle a entendu mes potes m’appeler Max)
Pas loin mais trop long, Maxime.

Je lui dis qu’avec un indice comme Max, si elle m’avait appelé Wilfred j’aurais trouvé ça bizarre… elle sourit. Elle sourit beaucoup. Elle est agréable à regarder et à écouter.
Je sais que j’ai envie de la revoir, est-ce que ça se fera ?
On en est pas là, du tout, du tout, du tout.

Tu fais quoi dans la vie Clémence ?
Je taff pour une ONG.
Dans mon esprit : ok, t’es une idéaliste perchée !
Et à la fois on a besoin de ces personnes qui se donnent pour notre planète, de quelque manière et pour quelque cause que ce soit.

Je lui dis : donc c’est pratique car tu vois réellement comment est dépensé l’argent collecté et dans quel but !?

J’ai l’image d’hommes et de femmes qui investissent de leur temps, de leur argent et de leur énergie, sans compter les nombreux donateurs qui ne savent jamais vraiment la portée de leur générosité.

Elle me répond que sa boite fonctionne à l’ancienne et que la vieillissante direction aurait besoin d’un sérieux dépoussiérage, donc pas vraiment.

Elle me demande ce que je fais.
Je lui parle de mon activité de location d’appartements pour les touristes et de la création du blog qui m’excite davantage.

Cette nana à besoin d’émotions, j’pense que la partie business, elle s’en cogne. Alors adapte ton histoire mon brave !

Ceci dit elle me demande si à terme je pense pouvoir vivre de mon site. Je lui dis que j’ai confiance, enfin on verra !

On rebondit sur Paris, ses trajets en métro et son quotidien qu’elle arrose de généreux superlatifs tels que : “C’est l’angoisse, c’est l’enfer”.

Je déteste ces expressions que j’ai banni de mon vocabulaire. Je suis convaincu que les mots ont une réelle puissance alors autant choisir ceux imprégnés de positif.

Retour sur mon téléphone, je balaie l’Equipe Magazine et m’endors avant la fin d’un article sur le succès mondial du porridge !

Pause pipi, on s’aère l’esprit, parle avec mes congénères et retourne sur le ring.

3e round, le match avance.

Elle ouvre le bal : donc t’as des origines portugaises ?
Moi : Pas du tout.
Elle : Espagnoles ?
Moi : En effet.
Elle : Moi aussi mais lointaines.
Moi : Quelle partie du pays ?
Elle : Séville.
Moi : C’est moche comme ville, petit rire.
Elle : Ah bon !? J’ai entendu dire que c’était trop cool.
Moi : Oui c’est vrai en plus, j’y suis allé, j’ai bien aimé.
———–/-

Elle : Et en France ?
Moi : Je viens de Nevers, tu vois ou c’est ?
Elle : Ok, oui je vois bien.
Moi : Dans le sud ouest à côté de la Côte Basque.
Elle : Tu m’test !?
Moi : Oui, c’est plein centre à 2h de Paris.
Elle : Okay t’es comme ça !

Après une présentation power-point sur l’attrait touristique de ma ville d’origine, on peut l’affirmer, notre complicité est naissante. Vamos.

T’as plus de 25 ans Clémence ?
J’en ai 24. Attends, oui c’est bien Ça.
Mais t’as arrêté tes études ?
Pourquoi ?
Parce que t’es jeune !?
J’ai tenu jusqu’au master, puis j’ai taffé 1 an dans une banque, ça m’a rendue ouf.
Après un voyage en Afrique du Sud j’ai décidé de me lancer dans le volontariat.
De quel type ?

C’est long, mais je suis passionnée par les primates !
Et qu’est ce qui te passionne chez eux ?
Ils me fascinent..!
Ok, merci.

Je sens qu’on est pas loin d’atterrir, il est temps de passer la seconde mon garçon.
Je te propose quelque chose Clémence…
Oui ?
Je t’emmène dans un endroit que j’aime bien dans mon quartier si tu devines ce que c’est.
Ok
C’est un endroit qui pouvait accueillir 17 000 personnes à l’époque.
Un bar !?
Mais non !
Ahhh, des arènes nan ?
C’est ça.

Le deal porte ses fruits, je récupère son numéro, on se fait la bise et Bastien qui regarde la scène du haut de ses 2 mètres me dit que c’est bien engagé : « elle te dévore du regard man ! ».

Je prends une petite heure pour écrire ces lignes dans le second vol qui nous conduira sur l’ile de Sal au Cap Vert. Je suis amusé et je me sens veinard de savoir provoquer ce genre de rencontres qui sortent de nulle part. On ne sait pas ou ça ira et dans le fond qu’importe ! Son sourire m’a déjà fait voyager pendant 2 heures et on n’est pas à l’abri d’une belle histoire…

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?La seconde est de vous transmettre un maximum de connaissances à travers les 4 domaines qui me passionnent, à savoir : les voyages, la séduction, le sport et l’entreprenariat.
?Enfin, la 3ème est de vous faire prendre conscience de votre valeur et qu’il est primordial de la partager avec le plus grand nombre.

J’ai pris un Verre avec un ÉMIR ?

J’ai pris un Verre avec un ÉMIR ?

Cet été, j’ai découvert une bulle de Milliardaires : GSTAAD.

J’y étais avec 3 potes en tant que spectateurs d’un tournoi de tennis et on a rapidement pris la tangente pour 3 jours de rando. On a échangé les Palaces et autres marques de luxe pour cuisiner au réchaud et dormir dans la nature !

La météo s’est gâtée. On a du trouver un plan B et rejoindre la voiture plus vite que prévu. On s’est retrouvé dans une auberge un peu perdue pour réfléchir à la suite du programme autour d’une bière. C’est à ce moment précis qu’un Émir est entré dans la partie !

Installés gentiment en terrasse, nous étions les seuls péquins du coin. Un convoi de voitures blindées aux vitres tintées est arrivé. L’Émir s’est installé à la table d’à côté, accompagné de ses 4 femmes, 3 gardes du corps et quelques enfants.

C’est en les observant et en parlant avec les hommes missionnés de le protéger que l’on réalise la valeur de ce que l’on vient de vivre : avoir dormi au pied d’une cascade, seuls au monde, bercés par le crépitement du feu qui s’éteint.

C’est précisément ce contre pied qui m’intéresse ici : Cet homme (le cousin de Mohammed ben Rachid Al Maktoum, l’Emir de Dubai, rien que ça), a beau avoir des centaines de millions d’euros bien au chaud, il ne sera jamais capable de vivre et d’apprécier les 2 journées que nous venons de passer.

Et comment je le sais ?

Par ce qu’il est ici, sous mon nez. Il vient tenter de « vivre une expérience » à 20km de Gstaad en se retirant dans cette auberge. Il veille à ce que ses gardes du corps reste assez éloignés de ses 4 femmes, rivées sur leurs iPhone. Personne ne se parle, il est dos à la montagne, comme s’il fermait les yeux face à tant de beauté. Le simple fait d’admirer, de contempler, de s’imprégner paraît compliquer.

Pas évident d’être milliardaire !

 

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Méditation : Interview avec Julien Delon Fondateur de l’Application MIND

Méditation : Interview avec Julien Delon Fondateur de l’Application MIND

Est ce que t’as déjà fait de la marche méditative ?

Qu’est-ce donc ? Je me suis dit la même chose avant de participer à cet atelier de méditation organisé par Julien Delon, co-fondateur de l’application MIND.

Depuis que j’ai appris, grâce au bien nommé Idriss Aberkane que la méditation était la découverte du siècle, je m’y suis mis. Il explique qu’une telle trouvaille apparaît tous les 100 ans :

1/ Le brossage de dents : Il y a 2 siècles (déjà) quelques illuminés précurseurs ont commencé à user de la patte à dents. Aujourd’hui, celui qui zappe ce passage obligatoire est un marginal.

2/ La pratique du sport : cela fait déjà 100 ans que quelques visionnaires ont compris qu’une pratique sportive régulière contribue à l’équilibre mental, au bien être physique et à la paix des mœurs ! De nos jours, l’asticot qui ne pratique pas, ne serait ce qu’une heure de marche active par semaine vit clairement dans un autre temps.

3/ La méditation : Il est aujourd’hui prouvé par des scientifiques à lunettes que méditer rend heureux, améliore la concentration et stabilise les émotions. D’ici 100 ans, celui qui ne méditeras pas = celui qui ne se brosse pas les dents = celui qui ne fait JAMAIS de sport = jackouille la fripouille.

Alors autant s’y mettre le plus tôt possible et qui de mieux pour nous l’expliquer que Julien Delon, Co fondateur de l’Appli Mind qui permet de méditer en toute simplicité.

 

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